BO/JSA DE BORDEAUX 3/2
Pour leur premier déplacement de la saison, notre équipe M18 Filles se déplaçait aux JSA de BORDEAUX pour passer un véritable test.
A cette occasion, les Biscarrossaises retrouvaient Anthéa, bien que diminuée par une douleur persistante au bras et Luce guérie. Côté absence, Elisa (doigt) a rejoint Lana (dos) à l’infirmerie, Palema était restée avec l’équipe M15 et Mélina jouait avec l’équipe M18 Filles 1 en championnat séniors.
C’est notre Président Jacques Moreau qui était sur le pont pour manager nos 7 joueuses : Anthéa, Camille, Célya, Clara, Lili, Luce et Riana.
En ce début de match, les Landaises ont oublié de mettre le réveil et les Bordelaises en profitent dès l’entame de match. Les filles n’ont pas enregistré leurs positions et leur jeu s’en ressent. Heureusement, une bonne qualité de services leur permet d’espérer. Vite mené 1 set à 0, l’équipe retrouve un peu de stabilité dans les placements avec la rentrée de Camille. Le jeu se met petit à petit en place mais les filles subissent devant une équipe euphorique qui se détache 2 sets à 0 puis qui prend les devants dans le 3ème set.
Afin d’éviter un retour à la maison trop rapide, Jacques remobilise les troupes et Bordeaux, sûrement par excès de confiance, se relâche. Derrière une Célya en chef d’orchestre à la passe, Anthéa et Riana commencent à imposer leur puissance à l’attaque pour gagner le set.
Dans le 4ème set, les filles continuent sur leur lancée avec de bonnes séries de Clara et Lili au service. La réception bordelaise est désarçonnée et le match s’inverse. Le BO arrache le tie-break et les filles sont survoltées. Luce apporte sa pierre à l’édifice et presque sans trembler, et sous les encouragements d’Angélique, Delphine et Arno, nos Biscarrossaises s’imposent 3 sets à 2. Des larmes de joie, de soulagement côté BO pour une remontada inespérée.
Un succès qui fait du bien au moral et qui nous l’espérons permettra d’hausser le niveau de jeu aux entraînements.
Prochain match le dimanche 05 décembre à 11h00 à Bisca face à SAINT JEAN D’ILLAC.
